café du port...!!!!

Voilà de quoi rêver à la saison de pêche qui s’annonce !
De belles possibilités !

Très joli coin mais pas facile de marcher sur de tels rochers. Attention aux chutes!

Je vois que tu te sens beaucoup mieux Soize il y a un an à peu près tu disais

Magnifique sanglier !!! j ai promis de plus sauter sur les rochers mais tu me donnes envie d 'y retourner faire le cabri!!! du bonheur cette pêche là

C'est zoli

Pour parer aux chutes éventuelles ou simplement passer d'une roche à une autre, depuis pas longtemps j'ai fait l'acquisition d'un bâton de ski , léger et réglable en longueur je n'y vais plus sans mon bâton, avant je me servais parfois du talon de ma canne munie d'un manchon caoutchouc ou d'un club de golf que j'avais récupéré à la déchetterie.
Un jour j'avais un "ancien" comme moi qui pêchait près de moi en position plutôt instable les pieds dans l'eau, il avait un bâton relié à sa ceinture, il avait ainsi les deux mains libres

Les pêcheurs à la mouche utilisent ce qu'ils appellent un bâton de wading et qui sert à ça aussi. Pour avoir essayer, toujours penser à le reprendre en main pour le moindre déplacement car il a tendance à se positionner tout seul entre les jambes avec les mouvements d'eau. Et là, le moindre pas de côté et c'est le bain assuré ....

Oui, je me sens mieux, j ai retrouvé ma marche normale . .eet surtout je ne souffre plus ....mais pour autant , je n'irai pas là pour pêcher du bord..;trop risqué, mais en contournant en kayak..
.J ai repéré des passages ...pour le reste, pareil j ai d autres spots , moins risqués mais j ai mon piolet aussi , pliable en plus , je le mets dans mon sac à dos !!!

Courrier du collectif aux ministères concernés...

Une crise de trop pour la pêche de plaisance.
La pêche de loisir se trouve aujourd’hui amputée de 4 mois complets de pêche du lieu jaune au sud du 48eme parallèle. A l’heure où on prétend mettre en avant écoute et concertation, cette décision sans avertissement, et celle de limiter pour le loisir à 1 bar par jour et par pêcheur, vont de plus mettre en difficulté la filière des fabricants et revendeurs d’articles de pêche, sans pour autant agir sérieusement sur la préservation de la ressource où la majorité des prélèvements ne sont même pas mis à la même enseigne (tailles, période de repos biologique etc.). A cela s’ajoute une pêche du thon où l’on persiste à permettre à un plaisancier de pêcher un thon tous les 10 ans, sans oublier des bruits qui se font déjà entendre vers de nouvelles restrictions pour la pêche en mer de plaisance sous prétexte d’écologie.
Veut‐on rester sourds face à ces évidences accumulées, à l’image de celles qui justifient les réactions légitimes du monde rural et agricole aujourd’hui ? : colère, incompréhension, déception et surtout exaspération sont actuellement les mots que l’on entend partout sur les pontons.
Il nous est régulièrement opposé, par opportunisme, un prétendu poids écologique « désastreux » de la pêche de loisir : quelles études soutiennent cet avis ? Quel poids écologique la pêche de loisir représente-t-­elle vraiment ?
Le ressenti est que la France serait plutôt en train de chercher à « donner le change » face à des objectifs théoriques qu’elle a contribué à fixer dans d’autres contextes ou face aussi aux pressions d’une frange d'écologie souvent plus dogmatique que fondée scientifiquement. La pêche plaisance dès lors ne serait-­‐elle pas plutôt le prétexte, à moindre frais, d’une prétendue bonne volonté à plus grande échelle, sans pour autant aborder les vraies questions de façon globale, lucide et équitable ?
Si les causes de l’évolution de la ressource sont multiples, et sans condamner par ailleurs nos
camarades marins pêcheurs professionnels qui font face aussi à des difficultés, ce ne sont
certainement pas les quelques centaines de milliers de pêcheurs plaisanciers et leurs pratiques qui pèsent de façon aussi significative en termes d’empreinte environnementale.
Le nombre de jours de mer est faible, un plaisancier navigue entre 40 et 60 heures par an durant des parties qui se soldent généralement à quelques poissons pour consommation familiale. Pour la majorité des usagers, c’est en tout cas moins d’une dizaine de sorties annuelles (6.79 jours par an,selon le CIEM, pour un pêcheur français), avec du matériel individuel léger et un faible impact sur la ressource.
Malgré cette empreinte écologique relative, il est un fait incontournable que la pêche récréative représente un poids politique et économique avéré : plus de 10 Milliards d’Euros annuels en Europe (selon l’étude réalisé pat la CIEM en 2017) en faisant vivre plus de 100 000 personnes. En France la plaisance c’est près de 6000 entreprises et près de 43000 salariés, contribuant à 5,4 milliards d'euros de chiffre d'affaires dans l'industrie et les services nautiques.
Nous autres pratiquants de la mer, restons toujours au contraire les premiers intéressés à conserver un milieu favorable à l’exercice de notre passion, souvent pratiquée – faut-­‐il le rappeler -­‐ en famille,puissant vecteur de transmission forte de respect de la nature entre générations, de valeurs, de connaissance de la biodiversité, de bonnes pratiques.
Aujourd’hui, cette façon d’imposer et d’accumuler les contraintes artificielles sont la goutte d’eau qui fait déborder le vase. Nous revendiquons le droit de pratiquer avec raison et responsabilité notre activité de « pêcheur de loisir ».
Nos positions, comme notre ouverture au dialogue, sont claires et publiques. Elles ont été rappelées tout récemment au nouveau premier Ministre et aux Autorités. (http://fnppsf.fr/derniere-­‐minute/20240122-­‐Lettre-­‐au-­‐Premier-­‐ministre-­‐Attal.pdf )
Mais s’il faut engager des combats pour se faire entendre des politiques et des administrations, alors nous y sommes prêts avec la même volonté que celles aujourd’hui dénoncées par d’autres face aux contraintes accumulées sans discernement ou cohérence.
Les pêcheurs en mer de plaisance ont déjà consenti des efforts importants et insuffisamment
reconnus. À défaut d’agir en faisant de nous des partenaires, notre détermination est celle, sans faille, de ceux qui veulent tout simplement exister et être respectés.
On ne peut prétendre vouloir concerter et parallèlement prendre des décisions sans le faire. Cela d’autant plus que, si certains objectifs sont partagés, les solutions pour y parvenir n’ont été ni sérieusement concertées préalablement, ni correctement liées à certaines réalités de terrain, aux pratiques, à l’expérience et à une application équilibrée pour tous. Imposer ne fait de personne des partenaires convaincus ni ne sert des objectifs partagés !
Il est temps que l’objectivité de certaines décisions soit remise à plat et que le gouvernement
revienne à la table des négociations tant à Bruxelles, où la France était représentée lors des accords politiques et des décisions européennes, que dans le cadre de la transposition de ces textes en droit français où d’autres restrictions nationales y sont ajoutées.
Nos lignes de revendications demeurent, parmi lesquelles :
• Une mise à plat et une harmonisation équitable des efforts à proportion pour tous les
acteurs au regard des tailles, conditions calendaires et géographiques. La pression mise sur la
pratique de la pêche plaisance est aussi absurde que si on cherchait à ce que des agriculteurs
professionnels partent en croisade contre les potagers individuels.
• La prise en compte de la suppression de cette ligne arbitraire du 48N parallèle par des
mesures négociées, décentralisées et locales, applicables à tous les acteurs, les écosystèmes
étant très différents depuis les Landes jusqu’au Pas de Calais.
• Le retour à des conditions réelles de préservation du Lieu (augmentation par exemple de la
taille) et non pas sur des décisions technocratiques qui vont au contraire la mettre plus
encore en danger
• La reconsidération des conditions de pêche du Bar, l’imposition d’une seule prise journalière
étant ubuesque (sortie de plusieurs heures pour une prise finale : quelle prise garder ?
impact réel du no-­‐kill ?….) : cette réglementation n’a de sens que sur base d’un quota
mensuel voire annuel.
• Pour les espèces sous gestion de la ressource, appliquer les mêmes tailles de prélèvement et un respect du repos biologique à tous les pêcheurs. Les efforts et les contraintes, pour être
justes, doivent être de même nature pour tous, partagées et respectées par tous les acteurs
de la pêche en mer.Sur le plan politique, cette crise vient s’ajouter aux autres défiances des citoyens vis-­‐à-­‐vis des instances institutionnelles nationales comme européennes : les prochaines élections européennes sont un point focal inévitable sur lequel nous appuierons nos revendications au niveau national et européen.
Par leur poids social et économiques considérables, des centaines de milliers de pêcheurs
plaisanciers et leurs familles ne cachent plus ces dernières semaines leur colère. Ils interpellent nos Fédérations ou s’expriment sur les réseaux sociaux sur le bien-­‐fondé de toutes ces décisions à défaut
d’une approche globale équilibrée et impliquant tous les acteurs dans la préservation de la
ressource.Si la concertation n’est pas un vain mot, alors qu’elle soit désormais mise en pratique de façon systématique et préalable à toutes décisions, conformément à l’engagement public des Autorités reconnaissant la Confédération comme l’interlocuteur privilégié dans ce contexte

[La pression mise sur la
pratique de la pêche plaisance est aussi absurde que si on cherchait à ce que des agriculteurs
professionnels partent en croisade contre les potagers individuels.]

je crois que c 'est ma phrase préférée dans le texte
Pour le reste, nous ne serons pas écoutés, la frontiére nord sud, et tout le reste on s 'en fiche , ça n a aucun sens point final...mais on voit bien depuis le temps que nous ne sommes pas écoutés

il y a 10ans pile poil on nettoyait la plage de Kerler à Fouesnant


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grand merci à Yechmat pour ses jolies photos, c'était un moment magique après l'effort, un bon casse-croûte bien garni avec Soize à l'accordéon

C'est quand même bizarre, de trouver des berrouettes échouées sur une plage!!!!!

Merçi Epicetou, quels bons souvenirs alors !!!! ...mine de rien tu as vu le gros tas de saletés qu'on avait ramassé ?? c 'était super ça !!!

Tu te souviens du promeneur qui ne faisait que passer, on avait engagé une conversation avec lui et que surtout ça sentait bon le pâté de campagne, il avait fini par boire un café avec nous sur la table improvisée, comme disait souvent mon père "ça vaut de l'or en Amérique".
Pour les bérouettes on avait fait simple, je n'avais pas assez de place dans le fourgon pour amener la Gordini ! lol

Oui , bien sùr que je m 'en souviens!! la table était bonne, l ambiance aussi!!!

La Confédération « Mer & Liberté », coprésidée par la FNPP, vient à nouveau de saisir le Gouvernement des nombreuses préoccupations qui relèvent de nos activités de #pêche en mer de loisir et sportive.
Dans une lettre à Monsieur Christophe Béchu, #Ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires et Ministre de tutelle du #Secrétaire d’État à la Mer & à la Biodiversité, ont été rappelées diverses occasions où les préoccupations de dizaines de milliers de pêcheurs de pêche en mer récréative n’ont pas été prises en compte de façon sérieuse. Y a été aussi transmise une liste résumée des principales demandes où tous attendent d’être écoutés et respectés, sans compter le poids économique considérable qu’ils représentent.
Nous espérons pouvoir aborder tout prochainement ces questions de façon sérieuse lors du groupe de concertation sous la co-présidence des Sénateurs #Alain Cadec et #Pierre Médevielle.
Pour plus d'infos sur notre site : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Pour lire nos demandes :
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merci par contre le deuxieme lien ne fonctionne pas

de bons souvenirs ces photos
ça avait été une journée super

lelandais a écrit:merci par contre le deuxieme lien ne fonctionne pas

j'ai corrigé
Cordialement
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Alors , je garde mon kayak rose à pagaie , et j ai mis en vente le passport tout  neuf ( trois sorties ) ça me gache la vie de l' avoir dans mon garage, avoir ça pour faire trois sorties l 'an, non, pas possible , c 'est donner de la confiture au cochon!!!
De toute façon le peu que je sors , j adore la pagaie , et ça me va , le confort et la façilité à pêcher c 'est secondaire pour moi au plaisir de pagayer
Les pédales c 'est autre chose, rien à voir

Croisé hier aprem un kayakiste habitué du secteur, tout énervé, il venait de croiser un banc de thon, à 500 m du bord d'une crique sur plouescatIl a vu une chasse terrible, à entendu sauter derriére lui , à pensé à un phoque , et peu après à vu un gros thon sauter...il est pas seul à les avoir vu, il m a dit autrement j aurai rien dit de peur de passer pour un barjot

Les poissons rouges se rapprochent de la côte car il n'y a plus rien à manger au large Nous avons le même problème en Méditerranée. A la sortie du Rhône, les thons sont à 300m du bord dans 5m de fond

Chez nus ils seront très present à partir du 15 Aout, c'est à cette période que nous faisons le plus de prises

c'est comme cela depuis plusieurs années

Le15 aout, en Méditerranée, ils sont toujours aux Baléares. Ils reviennent à fin aout ... les thons